Shangols

5 mai 2020

Le Métro (1934) de Georges Franju & Henri Langlois

Il est un temps où l'on a vingt ans et où l'on filme ce qui incarne le mouvement. Premier film de Franju accompagné d'un Langlois qui fera son petit bonhomme de chemin dans le milieu du cinéma. Le sujet est clair, la façon d'en rendre compte un peu moins....

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5 mai 2020

Spöksonaten (2000) de Ingmar Bergman

On termine cette odyssée Bergman avec cette adaptation (il en existe une autre version datée de 1973) de la pièce de Strindberg délicieusement intitulée La Sonate des Spectres. Un étudiant, passé de l'autre côté du miroir (mort en sauvant un enfant alors...

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4 mai 2020

SERIE : Le Bureau des Légendes - saison 5 - 2020 - de Eric Rochant et Jacques Audiard

Une cinquième saison qui nous mène un peu en bateau (de croisière) pendant les six premiers épisodes et qui soudain accélère. Rochant fait le choix d'entremêler les fils pendant six épisodes assez pépères pour finir sur un petit cocktail explosif lors...

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4 mai 2020

La Ballade des Sans-Espoirs (Too Late Blues) (1961) de John Cassavetes

Cassavetes travaille pour la Paramount mais ne vend pas totalement son âme aux grands studios dans cette histoire bluesimentale teintée d’idéalisme artistique. C'est en tout cas le message que l'on pourrait retenir dans le parcours de ce petit as du jazz,...

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4 mai 2020

Sista skriket (1995) de Ingmar Bergman

Après un petit retour sur l'âge d'or du cinéma suédois (1916-20... ah ben oui, trop tard), sur le réalisateur stakhanoviste Georg af Klerker (26 films en 18 mois) et sur les trois grands noms de l'époque (les réals Stiller, Sjöström et le producteur Magnusson),...

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4 mai 2020

Les Bacchantes (Backanterna) d'Ingmar Bergman - 1993

Ah là ça fait moins les marioles avec les subtilités du vers moliéresque ou les infimes variations du coeur ibseniennes. Là, on est dans Euripide, il s'agit donc d'être surpuissant et de ne pas s'embarrasser de psychologie. Eh bien, Bergman, même dans...

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3 mai 2020

Anomalisa (2016) de Charlie Kaufman & Duke Johnson

Il est rare d'assister à un cunnilingus dans un film d'animation. Qu'est-ce que je voulais dire sinon ? Ah oui, sept ans après le totalement déjanté Synecdoche, New York (remember la théorie du gars Bastien sur le gars qui pisse vert : tout un programme),...

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3 mai 2020

Les deux Bienheureux (De Två saliga) (1986) de Ingmar Bergman

Une oeuvre pour le moins teintée au noir par l'ami Bergman pas vraiment dans une phase de joie brute. L'amour peut-il tout conquérir ? A voir nos "bienheureux", on a juste l'impression que c'est surtout la parano qui est plus fort que tout... Viveka et...

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3 mai 2020

Les Rôdeurs de l'aube (Rage at Dawn) de Tim Whelan - 1955

Ouillallaïe c'est vrai que cette odyssée westernienne ne nous emmène pas que sur des voies royales. Ces Rôdeurs de l'aube sont pour tout dire privés de tout intérêt, et il n'y aurait pas le brave Randolph Scott au générique, il n'aurait sûrement pas figuré...

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3 mai 2020

A Pair of Boots & My Daddy can lick your Daddy in The Lloyd Bridges Show (1962-63) de John Cassavetes

A Pair of Boots Nos odyssées nous amènent parfois sur de tous petits chemins de traverse. Eh oui, Cassavetes a tourné deux épisodes de cette série télé à la gloire de Lloyd Bridges qui endosse, dans ces épisodes de 24 minutes, le premier rôle. Ce premier...

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2 mai 2020

Dialogue d'exilés (Diálogos de exiliados) de Raúl Ruiz - 1975

C'est bien beau de faire la guerilla au Chili, mais quid des exilés politiques qui débarquent en France, souvent sans papier, sans connaissance de la langue et encore tout imprégnés de leur feu révolutionnaire ? Faute de mieux, Raúl Ruiz en fait un film,...

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2 mai 2020

Mon Arbre de Raymond Depardon & Claudine Nougaret - 2019

C'est sur les petites routes de France qu'on s'attend à retrouver désormais le bon Raymond Depardon. Le voici de nouveau attiré par le vert, cette fois-ci par nos frères les arbres qu'il va filmer nonchalamment et un peu au fil de la plume dans les villages...

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2 mai 2020

Le Schpountz de Marcel Pagnol - 1938

Les programmations télé pendant les vacances (forcées en l'occurrence) ont cet avantage de vous proposer éternellement les mêmes films de patrimoine, et de vous permettre de re-visioner de temps en temps un de ces solides "classiques" français qui émouvaient...

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1 mai 2020

Un mauvais Garçon (No Man of Her Own) (1932) de Wesley Ruggles

Voilà une petite œuvre pré-code, aussi légère qu'un bas de soie, qui, à défaut de raconter grand-chose, permet au (pré-)couple Lombard-Gable de flirter en toute simplicité. Le mauvais garçon, c'est forcément Clark, non affublé de sa moustache mais avec...

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1 mai 2020

Symphonie en noir (Etude in black) in Columbo (1972) de Nicholas Colasanto, Peter Falk & John Cassavetes

Vous aviez déjà eu droit à un épisode de Tatort (de Fuller) en voici un de Colombo avec nos amis Falk et Cassavetes derrière les manettes (sans être d’ailleurs crédités au côté de Nicholas Colasanto). Qu’en dire ? C’est un peu concombre comme un épisode...

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1 mai 2020

Silverado de Lawrence Kasdan - 1985

Une horreur. Tout est raté dans ce film qui tentait en 1985 la résurrection du western et essayait de faire le pont entre le classicisme de la grande époque et la modernité. Dès le départ, avec ces décors de carton-pâte et ces scènes surfaites de fusillade...

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1 mai 2020

Notre Dame de Valérie Donzelli - 2019

Je sais, je sais, Valérie Donzelli est l'archétype de la cinéaste qui énerve tout le monde avec ses postures bobo et son style de porcelaine. Mais qu'est-ce que vous voulez, moi j'aime bien ses films, qui parviennent toujours à me toucher doucement. Notre...

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1 mai 2020

Au-delà de la Gloire (The Big Red One) (1980) de Samuel Fuller

On achève cette odyssée Fuller (en attendant de trouver les petites scories télévisuelles manquantes du sieur) avec ce flamboyant The big red One qui prouve que lorsqu'on donne les moyens au père Sam il sait encore faire parler la poudre. On suit les...

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1 mai 2020

Ten (Dah) d'Abbas Kiarostami - 2002

Bon, là, les enfants, c'est pas compliqué : on est dans le chef d'oeuvre absolu. En 2002, Kiarostami nous servait l'oeuvre la plus audacieuse, la plus nouvelle, la plus intelligente du moment, et entrait directement dans mon panthéon des 5 plus grands...

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30 avril 2020

Le Shérif ne pardonne pas (The Deadly Trackers) (1973) de Barry Shear

Adapté d'une histoire du gars Samuel Fuller (on va lui péter la tronche aussi à cette odyssée Fuller, le confinement aura fait des victimes), film auquel il n'aurait que peu participer au niveau du tournage, The Deadly Trackers n'est pas le nanar que...

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30 avril 2020

L'Atelier d'Eric Rohmer (1993-2009) de différentes jeunes femmes

Série : « Le Modèle » Un dentiste exemplaire (1998) de Aurélia Alcaïs, Haydée Caillot & Stéphane Pioffet Une jeune femme a envie de faire un voyage aux Etats-Unis mais a besoin d'argent. Son amie lui propose de poser nue pour un photographe ; elle feuillette...

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29 avril 2020

Comment utiliser son temps libre ? (Az Oghat-e Faraghat-e Khod Chegouneh Estefadeh Konim ?) d'Abbas Kiarostami - 1977

Heureusement que Tonton Abbas est là pour nous sortir de l'oisiveté, parce que sinon on serait dans la gabegie. Perplexe devant une porte qui part en lambeaux, notre pédagogue va réveiller deux adolescents pris en flagrant délit de flemme pour leur enseigner...

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29 avril 2020

Dollar (1938) de Gustaf Molander

Ça ne coûte rien de se taper une petite comédie sentimentale inter-couple avec Ingrid Bergman dans tous ses éclats ; mais ça rapporte pas grand-chose non plus. Oh rien de totalement affligeant dans cette histoire où l'on fait connaissance de trois couples,...

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29 avril 2020

Le Café (Das Kaffeehaus) (1970) de Rainer Werner Fassbinder

On ne finira point cette odyssée Fassbinder dans les paillettes et la joie mais qu'à cela ne tienne - une petite déception n'est pas si grave au vu des dernières découvertes absolument emballantes. Fassbinder adapte Goldoni et donne un écrin le plus terne...

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29 avril 2020

SERIE : The Plot against America de Ed Burns et David Simon - 2020

Adapter Philip Roth en série, dans ce milieu de l'efficace et du rentable, peut paraître douteux, même si en l'occurrence on choisit un de ses romans les plus narratifs. The Plot against America raconte en effet une histoire qui se prête au spectaculaire...

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29 avril 2020

Breakfast Club (The Breakfast Club) (1985) de John Hughes

Voici donc une comédie "culte" douce-amère des eighties signé John Hughes (que je découvre, ce me semble...). La grande réussite de la chose, s'il y en a une, est de montrer des ados couillons comme peuvent l'être des ados : en plein doute existentiel,...

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29 avril 2020

Un Eté sans Eau (Susuz Yaz) (1963) de Metin Erksan

Ça fait pas de mal d'aller du côté de la Turquie pour voir, cette fois-ci (après l'immonde 7. Kogustaki Mucize), une véritable œuvre qui tient la route (et sauvée des eaux par le gars Scorsese). C'est une histoire de frères, de terre sèche, de jalousies,...

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28 avril 2020

Nora Helmer (1974) de Rainer Werner Fassbinder

Fassbinder adapte La Maison de Poupée d'Ibsen et c'est une nouvelle fois remarquable - à tel point que l'on se dit que ces créations pour la télévision ou pour le théâtre valent amplement certains de ses longs-métrages un peu ratés. Un décor, mais nom...

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28 avril 2020

LIVRE : Toutes les Histoires d'amour ont été racontées, sauf une de Tonino Benacquista - 2020

On se souvient que Benacquista, il y a 25 ans, savait parfaitement trousser des histoires entre polar et chronique de moeurs, et savait être agréable entre deux livres sérieux avec ses trames efficaces. Vrai plaisir de le retrouver à peine changé aujourd'hui,...

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Tags: Benacquista

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28 avril 2020

SERIE : Quiz de Stephen Frears - 2020

Stephen Frears rempile et revient par la petite porte, celle des séries télé. Eh bien c'est presque plus probant ici qu'au cinéma, dirais-je pour être méchant. Quiz est une toute petite série, disons même un long téléfilm, qui raconte par le menu la possible...

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27 avril 2020

Sous deux Drapeaux (Under Two Flags) (1922) de Tod Browning

Un petit Tod Browning de derrière les fagots, vous attendiez pas, hein ? Under Two Flags est dans la veine des bons vieux films d'aventure en territoire exotique ; rien de forcément fabuleux là-dedans (on ne peut pas dire non plus que ma "copie" rende...

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27 avril 2020

April, April ! (1935) de Douglas Sirk

La première œuvre de Sirk était jusqu'alors passée entre les mailles de nos filets, nous avons enfin attrapé le poisson. On est dans la comédie, voire même dans la grosse blague bouffonne teutonne, mais Sirk n'en néglige pas pour autant le rythme dans...

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27 avril 2020

La Photo (2014) de André S. Labarthe

Ah la Cinémathèque (le lien est là ) commence à faire quelques efforts pour nous mettre en joie (on veut de l'incunable, du rare, du précieux !). Ici le principe est simple : on montre la (célèbre et iconique) photo ci-dessus à la crème des critiques...

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27 avril 2020

Visit (Lai Fang) (2020) de Jia Zhangke

J'ai envie de dire qu'il s'agirait presque du premier film (signé par une référence du monde du cinéma) sur cette chère période de quarantaine (et plus si affinités). Librement inspirée d'Espèces d'Espace de Pérec (toujours inspirateur, le bougre) et...

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27 avril 2020

Eros + Massacre (Erosu purasu Gyakusatsu) (1969) de Kijû Yoshida

Voilà une œuvre fleuve de Yoshida (plus de trois heures, c'est un peu éprouvant) qui mêle une fois de plus le présent (les mésaventures amoureuses et "intellectuelles" de deux jeunes étudiants) et l'histoire (que nos deux jeunes gens lisent, jouent, étudient)...

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27 avril 2020

Les Amours de Salomé (Salome Where She Danced) de Charles Lamont - 1945

Un beau bordel pour ce film qui part littéralement dans tous les sens, et ce à tous points de vue. Brion le classe dans les westerns, mais franchement le film pourrait aussi bien figurer dans la liste des comédies musicales, des mélodrames, des films...

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26 avril 2020

Ne dites jamais Adieu (Never Say Goodbye) (1956) de Jerry Hopper & Douglas Sirk

Ce petit confinement nous permet de remettre le nez dans des "intégrales" dans lesquelles il demeure quelques trous. Pas de panique, toute l'équipe de Shangols est sur le pied de guerre pour combler les lacunes. Voici donc une œuvre (forcément mélodramatique)...

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26 avril 2020

Le Misanthrope (Misantropen) d'Ingmar Bergman - 1974

Les mises en scène théâtrales de Bergman ne brillent pas par leur audace, et on y cherchera en vain le goût pour l'expérimentation qui marqua certains de ses films pour le cinéma. Mais tout de même : quand on voit un travail de la qualité de ce Misanthrope...

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26 avril 2020

Les 3 Boutons (2015) d'Agnès Varda

L'odyssée Varda ne serait complète sans ces courts-métrages exhumés de ci de là et qu'on découvre post-mortem. Les 3 Boutons est une commande de la maison de couture Miu-Miu à la gente dame à la coiffure rose atomisée. Pour parler de la haute-couture,...

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26 avril 2020

Henri Langlois vu par... (2014) de treize cinéastes aguerris

Si vous voulez savoir pourquoi l'écran de la cinémathèque est plus grand que les films projetés, pourquoi Coppola a baptisé sa maison de production Zoetrope, comment fabriqué une rosette avec un paquet de cigarettes, que faisait Buster Keaton en larmes...

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25 avril 2020

La Guerre des Mondes (The War of the Worlds) (1953) de Byron Haskin

Il y a toujours des imprévus dans la vie qui risquent de mettre soudainement le monde en péril. Il suffira ici d'une pluie de météorites en provenance de Mars (avec des extra-terrestres belliqueux inside) - le nid se situant en Californie près de la ville...

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25 avril 2020

Quand la Poudre parle (Law and Order) de Nathan Juran - 1953

Bien fadasse, ce western de série, qui ne parvient à proposer aucun moment notable sans pour autant complètement ennuyer, un exploit. Si Juran a pu de temps en temps montrer une certaine habileté pour réaliser des séries B, il est aux abonnés absents...

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24 avril 2020

Rosette par Rosette (1983-1988) de Rosette

Rosette sort le soir (1983) Rosette a un rencard avec Pascal Greggory ; seulement voilà, lorsqu'elle arrive toute pimpante chez lui, après avoir échappé à son père Eric Rohmer, elle le trouve avec Arielle Dombasle : trahison et frustration ! Rosette prend...

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24 avril 2020

La Vie du Christ d'Alice Guy - 1906

Première femme réalisatrice, première représentation du Christ au cinéma, ce film a tout pour être historique. Et il l'est, diable, tant Alice Guy se montre compétente dans l'exercice. En 25 tableaux édifiants, elle nous narre donc la naissance, l'oeuvre...

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24 avril 2020

L'Ennemi public n° 1 (Manhattan Melodrama) (1934) de W.S. Van Dyke & George Cukor

"Class, it's written all over him" Certains films ont tout simplement la classe. Presque trop serait-on tenté d'ajouter pour apporter une petite pointe caustique obligé. Jugez du peu : Jim et Blackie se connaissent depuis l'enfance, ont vécu les mêmes...

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24 avril 2020

High School de Frederick Wiseman - 1968

Désireux de sortir du milieu carcéral ( High School est le deuxième film de Wiseman après l'éprouvant Titicut Follies), notre Frederick s'enferme cette fois-ci dans le milieu éducatif, bien barré pour d'autres raisons. Le voici donc arpentant les couloirs...

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24 avril 2020

LIVRE : La Femme gelée d'Annie Ernaux - 1981

Si vous voulez éviter de vous retaper les deux tomes du Deuxième sexe, je ne saurais trop vous conseiller ce petit livre qui a les mêmes intentions et les mêmes effets uppercut que ceux de la bonne de Beauvoir. Annie Ernaux y narre la vie monstrueusement...

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Tags: Ernaux

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24 avril 2020

Gibier de Passage (Wildwechsel) (1973) de Rainer Werner Fassbinder

L'amour est décidément froid comme la mort dans ce Fassbinder glaçant comme une douche froide. Faites des gosses, ouais, et chérissez-les... L'injonction sonne creux à l'aune de cette histoire d'une famille allemande tristement moyenne ; il est routier,...

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24 avril 2020

Prenez garde à la Sainte Putain (Warnung vor einer heiligen Nutte) de Rainer Werner Fassbiner - 1971

Ambiance dépressive et poisseuse pour ce Fassbinder, qui ne nous avait certes pas habitués à des atmosphères de fêtes de la bière, mais qui pousse quand même ici assez loin le bouchon de la déprime. Sûrement habité par le manque d'inspiration et l'angoisse...

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23 avril 2020

Histoire écrite sur l'Eau (Mizu de kakareta monogatari) (1965) de Kijû Yoshida

On est rarement déçu par Yoshida et ce nouvel opus sentimentalo-vénimeux n'y déroge point. Pour faire vite, on assiste ici, au présent de narration, aux relations ambiguës entre quatre personnages : Shizuo qui doit se marier avec la torride Yumiko, sa...

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