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Shangols
REALISATEURS
GODARD Jean-Luc 1 2
 
 
 

 
 
 
 
 
 
 
 
 
16 juin 2023

Les Plaisirs de la Chair (Etsuraku) (1965) de Nagisa Oshima

Les Plaisirs de la Chair (Etsuraku) (1965) de Nagisa Oshima
Nagisa Oshima poursuit sa réflexion sur les liens entre l'amour, cette turpide société japonaise et la mort. Il y a quelque chose de forcément très hitchcokien et Vertigo-gineux chez cet homme qui choisit le corps d'une autre femme pour assouvir ses fantasmes...
17 février 2023

L'Empire des Sens (Ai no korîda) (1976) de Nagisa Ôshima

L'Empire des Sens (Ai no korîda) (1976) de Nagisa Ôshima
To ken or to ken, c'est bien ici la seule question. Quelle issue, pour cette femme, qui, indéniablement, ne peut se passer de la bite de son compagnon ? On se rappelle de la fin de la chose, de cette bite qui rend l'âme, mais pas forcément de toutes les...
12 septembre 2020

La Pendaison (Kôshikei) (1968) de Nagisa Ôshima

La Pendaison (Kôshikei) (1968) de Nagisa Ôshima
Oshima, en 1968, s'attaque à un sujet pour le moins sensible, celui de la peine de mort, peine à laquelle 71% de ses congénères sont favorables. Le cinéaste va s'attaquer au sujet à bras-le-corps, tout d'abord, en filmant une pendaison et son échec (le...
26 septembre 2019

La Cérémonie (Gishiki) (1971) de Nagisa Ôshima

La Cérémonie (Gishiki) (1971) de Nagisa Ôshima
Voilà un film plutôt rugueux d'aspect, aux décors minimalistes (limite décors brechtiens ajouterait mon comparse), à la musique « malaisante » (des sons violonneux qui foutent le bourdon dès les premiers accords) qui s'intéresse tout bonnement à une famille...
20 mai 2017

Le petit Garçon (Shonen) (1969) de Nagisa Oshima

Le petit Garçon (Shonen) (1969) de Nagisa Oshima
Oshima réalise un film à partir d'un fait divers un peu glauque (des parents poussent leur enfant à se jeter sur des bagnoles pour gratter de l'argent auprès de naïfs conducteurs) qui prend souvent des tournures néo-réalistes voire ozuesques. Je m'explique....
22 novembre 2010

A propos des Chansons paillardes au Japon (Nihon shunka-kô) (1967) de Nagisa Oshima

A propos des Chansons paillardes au Japon (Nihon shunka-kô) (1967) de Nagisa Oshima
Pas toujours facile à suivre, le gars Oshima, dans ses oeuvres contestatrices des années 60, et on tente, tant bien que mal, d'en capter l'esprit tout en savourant au passage la précision de la mise en scène, la beauté indiscutable des cadres. Avec, dès...
8 juin 2010

Le Retour des trois Soûlards (Kaette kita yopparai) (1968) de Nagisa Oshima

Le Retour des trois Soûlards (Kaette kita yopparai) (1968) de Nagisa Oshima
Les errances post-estudiantines de trois bras-cassés japs qui se voient forcés d'endosser des uniformes de militaire et d'étudiant coréens... Cela va leur apporter moult problèmes. Dit comme cela, le film semble n'avoir rien de passionnant. Et franchement...
23 mai 2010

Eté japonais : double Suicide (Muri shinjû : Nihon no natsu) (1967) de Nagisa Oshima

Eté japonais : double Suicide (Muri shinjû : Nihon no natsu) (1967) de Nagisa Oshima
Grosse défaillance du gars Shang, devant cet opus oshimesque, qui tout en appréciant la beauté des images et la rigueur incontestable des cadres, n'a point tardé à piquer un peu du nez devant ce huis-clos où les hommes passent leur temps à vouloir faire...
16 mai 2010

L'Obsédé en plein Jour (Hakuchû no torima) (1966) de Nagisa Oshima

L'Obsédé en plein Jour (Hakuchû no torima) (1966) de Nagisa Oshima
Difficile de ne pas penser à Godard (citons notamment Une Femme mariée ) avec cet esthétisme qui consiste, dès le départ, à capter en gros plan des parties du corps ou du visage. Très rapidement l'exercice de style s'étend à pratiquement chaque séquence...
6 février 2010

Furyo (Merry Christmas Mr. Lawrence) (1983) de Nagisa Oshima

Furyo (Merry Christmas Mr. Lawrence) (1983) de Nagisa Oshima
Film d'hommes entre eux, c'est le moins qu'on puisse dire, et le film n'a pas perdu au fil des années "son pouvoir de séduction". D'un côté les Japs avec leur code de l'honneur sacré - mieux vaut se faire hara-kiri que de tomber entre les mains ennemeis...
3 février 2009

L'Empire de la Passion (Ai no borei) (1978) de Nagisa Oshima

L'Empire de la Passion (Ai no borei) (1978) de Nagisa Oshima
Opus beaucoup moins cru d'Oshima après L'Empire des Sens, comme s'il s'était assagi au niveau de l'image, de l'attraction des corps, pour plus se concentrer sur les sentiments qui lient les deux êtres, au delà de tout, même de la mort - les titres français...
30 juillet 2008

Nuit et Brouillard au Japon (Nihon no yoru to kiri) (1960) de Nagisa Oshima

Nuit et Brouillard au Japon (Nihon no yoru to kiri) (1960) de Nagisa Oshima
On ne peut enlever à Oshima une réflexion poussée sur sa mise en scène cinématographique (les dix petites minutes de bonus sur le dvd qui reviennent sur ses propos théoriques concernant cet aspect artistique sont relativement bien faites) : le cinéaste...
22 juillet 2008

Cent Ans de Cinéma Japonais (100 Years of Japanese Cinema) (1994) de Nagisa Oshima

Cent Ans de Cinéma Japonais (100 Years of Japanese Cinema) (1994) de Nagisa Oshima
Des extraits et des photos pour 50 minutes d'une vision historique un poil rigide de l'évolution du cinéma japonais dans lequel Oshima fait la part belle... à lui-même. On évoque rapidos les films muets avec un petit clin d'oeil à Ozu ainsi que les années...
21 juillet 2008

Une Ville d'Amour et d'Espoir (Ai to kibo no machi) (1959) de Nagisa Oshima

Une Ville d'Amour et d'Espoir (Ai to kibo no machi) (1959) de Nagisa Oshima
Un bien joli titre nipponisant pour un film triste comme un ver à soie (enfin, je me doute). Il s'agit en fait du premier volet de la Trilogie de la Jeunesse d'Oshima qui ne respire point la joie. Avant de faire des films avec moult roulades sur le tatami,...
8 septembre 2007

Tabou (Gohatto) de Nagisa Oshima - 1999

Tabou (Gohatto) de Nagisa Oshima - 1999
Vu le contexte de son scénario (une histoire trouble d'homosexu alité au sein d'une milice dans l'ancien Kyoto), ce film est assez étonnant de par sa grande modernité. Oshima ne tombe jamais, ou presque, dans le piège de la jolie reconstitution à la Zang...
23 août 2007

L'Enterrement du Soleil (Taiyo no hakaba) (1960) de Nagisa Oshima

L'Enterrement du Soleil (Taiyo no hakaba) (1960) de Nagisa Oshima
A l'instar d'un Seijun Suzuki ou d'un Dodeskaden de Kurosawa, Nagisa Oshima filme las bas-fonds japonais de l'après-guerre avec un désespoir et un pessimisme rarement atteint. Il signe un film d'une âpreté totale, dans lequel chacun des personnages semble...
18 août 2007

Contes cruels de la jeunesse (Seishun zankoku monogatari) (1960) de Nagisa Oshima

Contes cruels de la jeunesse (Seishun zankoku monogatari) (1960) de Nagisa Oshima
On est au début des swinging sixties au Japon, une belle jeunesse voit le jour sous le signe de la "Nouvelle Vague" et pis ben non, patatra, on est dans un film d'Oshima, rien ne va plus, tout s'écrase au sol comme un pauvre litchi désemparé. Makoto a...
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