Shangols

12 avril 2025

Le grand Attentat (The tall Target) (1951) d’Anthony Mann

Quelques semaines de break pour le gars Shang le temps de passer des pâles cieux shanghaiens aux somptueuses voutes étoilées comoriennes – mais la "quête" shangolienne continue comme dirait le grand Jacques… Rien de mieux pour se remettre sur les rails...

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6 décembre 2021

Nobody's Darling (1943) d'Anthony Mann

A la force du poignet, on va l'achever, cette odyssée nom d'un petit fusible ! Je vous vois venir de loin avec ce petit air supérieur : encore une petite comédie romantique mâtinée de comédie musicale sirupeuse ? Eh bien oui, parfaitement, mais que croyez-vous,...

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25 novembre 2021

My best Gal (1944) de Anthony Mann

Eh oui, quand on attaque une odyssée, il faut aller jusqu'au bout du bout de la chose. Ce qui permet de découvrir parfois des merveilles cachées. Ou des pannouilles. Hum, hum... C'est vrai qu'ici, difficile de trouver dans cette légère pseudo comédie...

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12 décembre 2015

La Chute de l’Empire romain (The Fall of the Roman Empire) (1964) d'Anthony Mann

Pour conclure cette odyssée de l'ami Mann, son péplum-fleuve qui nous réserve quelques jolis instants de bravoure à défaut de nous faire chavirer pendant trois heures. Que faut-il retenir de la chose ? La présence, tout de même, de la Sophia Loren avec...

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27 novembre 2015

Sing Your Way Home (1945) d'Anthony Mann

Anthony Mann fait dans l'effort de guerre musical et le moins qu'on puisse dire c'est que le gars est encore en train de faire ses armes pour ne pas dire ses dents. Rien de honteux dans la facture, c'est juste le scénario qui est d'une pauvreté absolue....

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26 avril 2015

The Bamboo Blonde (1946) d'Anthony Mann

Cette odyssée Mann oblige à faire les fonds de tiroirs : non, The Bamboo Blonde (incarnée par Frances Langford : personnellement, pas fan) n’est pas le chef d’œuvre inconnu de Maître Anthony. Une histoire d’amour during the war un peu sotte et un trio...

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9 décembre 2013

Le Cid (El Cid) (1961) d'Anthony Mann

Ces odyssées (fleuves) nous permettent de découvrir de petites merveilles et des films (fleuves) un peu oubliés qui charment par leur faste (il fut un temps, messieurs-dames les jeunes, où tous les figurants étaient différents et des êtres de chair et...

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30 août 2013

Two O'Clock Courage (1945) d'Anthony Mann

Ce film qu’on pourrait encore situer au début de la carrière de Mann commence sur de bonnes bases : une silhouette d’homme, de dos, progresse, chancelante, dans une artère de la ville en pleine nuit. L’homme décidément pas au mieux est à deux doigts de...

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5 août 2013

Serenade (1956) d'Anthony Mann

Je ne suis pas du genre à aimer tailler dans le gras (ce d'autant que le héros du film - Mario Lanza (existe aussi en marque de café) - est un ténor) mais disons-le franco de port : je me suis ennuyé ma race. Alors oui, Anthony Mann est, on le sait, un...

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2 mai 2013

Les Héros de Telemark (The Heroes of Telemark) (1965) d'Anthony Mann

Il faut aller jusqu'au bout de l'effort pour achever cette odyssée Mann. Qu'en est-il alors de ces Heroes of Telemark qui a toutes les allures du film qu'on se tapait gamin les dimanches après-midi ou les jours fériés quand on s'ennuyait à mourir ? Ah...

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25 avril 2013

Strategic Air Command (1955) d'Anthony Mann

N'y allons pas par quatre chemins, Strategic Air Command , malgré la présence de James Stewart et de sa femme à la voix cassée June Allyson, ne présente aucun intérêt. Sauf si vous êtes un gros fan de B42 mais il y a tout de même peu de chance. Le gars...

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14 avril 2013

Romance inachevée (The Glenn Miller Story) (1954) d'Anthony Mann

Difficile de vraiment reconnaître la patte d’un Anthony Mann dans cette « music love story » d’une gentillesse terrible : d’un côté l’éternel grand enfant James Stewart qui semble tout droit sorti d’un film de Capra, de l’autre la chtite June Allyson...

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6 avril 2013

Strangers in the Night (1944) d'Anthony Mann

Moins d'une heure pour cette sixième oeuvre de Mann dans laquelle plane un parfum de mystère et qui aurait pu avoir sa place, en bonne position, dans un Hitch présente. D'ailleurs, au Hitch, on y pense plusieurs fois au cours de cette histoire avec cette...

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13 janvier 2013

La Porte du Diable (Devil's Doorway) (1950) d'Anthony Mann

On est avec du beau monde (Mann, Alton à la photo toujours aussi virtuose (en particulier dès qu'on lui donne une fenêtre dans le décor), la divine Paula Raymond et le solide Robert Taylor dans le rôle de Broken Lance (rien à voir avec Armstrong, l'un...

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14 décembre 2012

L'Homme de la Plaine (The Man from Laramie) (1955) d'Anthony Mann

James Stewart is coming from Laramie et a soif de vengeance... Venger qui ? On ne tarde pas à savoir qu'il s'agit de son jeune frère, engagé par la cavalerie : le gars fut massacré par des Apaches armés de fusils à répétition (les plus dangereux dans...

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10 novembre 2012

Le Port des Passions (Thunder Bay) (1953) d’Anthony Mann

Mann est décidément un touche à tout : film noir, western, film de guerre, film épique, film pétrolier… Oui, bon, c’est malheureusement à cette dernière catégorie qu’appartient cette œuvre qui compte dans ses rangs deux poids lourds (James Stewart et...

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2 novembre 2012

Winchester ’73 (1950) d’Anthony Mann

Là on est dans du lourd, voire dans du très lourd, non seulement au niveau du casting (James Stewart et sa voix de miel mâtinée de sable, Shelley Winters et ses regards qui en disent long quand ils se portent sur l’homme qu’elle aime, Millard Mitchell...

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25 octobre 2012

La Charge des Tuniques bleues (The Last Frontier) (1955) d’Anthony Mann

Disons le tout de go, ce western de Mann n’est en rien inoubliable, juste une sympathique petite variation autour d’un trappeur libre et droit dans ses bottes qui va mettre un peu la pagaille dans un fort reculé (il peut y avoir un jeu de mot, oui). Victor...

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10 octobre 2012

Dr Broadway (1942) d’Anthony Mann

Premier film (pour le cinoche) réalisé par l’ami Mann qui livre, sur un peu plus d’une heure, la sympathique historiette d’un docteur-détective au grand cœur. Macdonald Carey (de faux airs de James Stewart jeune si on veut vraiment chercher une ressemblance)...

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30 septembre 2012

Les Affameurs (Bend of the River) (1952) d’Anthony Mann

Y’a-t-il une difference entre un homme et une pomme ? Pour le savoir, il vous faudra suivre les traces d’un James Stewart grisonnant mais po maladroit de la gâchette et d’Arthur Kennedy, un type au sourire charmeur mais parfois torve. Deux types au passé...

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6 septembre 2012

Le petit Arpent du bon Dieu (God’s little Acre) (1958) d’Anthony Mann

Rarement le gars Mann m’aura déçu, rarement m’aura-t-il autant enchanté. Imaginez une famille déjantée à la Wes Anderson avec des jeunes femmes belles à se damner comme dans un Antonioni filmée dans un sud torride des Etats-Unis cher à Tennessee Williams...

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27 juillet 2012

La Cible vivante (The great Flamarion) (1945) d’Anthony Mann

Mary Beth Hughes est la reine des salopes. Elle joue avec les hommes comme les Nippons avec les billes de fer, trouvant toujours un glandu pour se débarrasser d’un encombrant mari qui en sait trop sur elle (la belle a l’habitude des coups chafouins) avant...

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4 juin 2012

Le Livre noir (The Black Book / Reign of Terror) (1949) d'Anthony Mann

Anthony Mann n'a rien contre le mélange des genres et nous trousse un petit noir au temps de la Terreur, des Danton, Robespierre, Barras, Fouché et Saint-Just. On sent que c'est un peu cheap au niveau du budget (pour les scènes d'assemblée populaire,...

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29 mai 2012

Maldonne pour un Espion (A Dandy in Aspic) (1968) d'Anthony Mann

Dès le générique, très réussi, avec cette marionnette Océdar qui se prend les pieds dans ses propres fils, on sent que le film, à défaut d'être décapant, nous emmènera en terrain glissant : on est en pleine guerre froide, le personnage principal (charismatique...

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15 mai 2012

Du Sang dans le Désert (The Tin Star) (1957) d'Anthony Mann

Anthony Mann est vraiment un grand et le prouve une nouvelle fois avec ce western magistralement maîtrisé de bout en bout. Dès les premières images qui défilent dans un silence de mort, eastwoodiennes tenterais-je, de cet homme qui traverse une ville,...

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28 février 2012

Je suis un Aventurier (The Far Country) (1954) d'Anthony Mann

"I don't need other people. I don't need help. I can take care of me." Quel plaisir de découvrir un grand western avec un grand Stewart traçant sa route dans de grands espaces... C'est un western avec certes les passages obligés du genre, les femmes qui...

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21 juillet 2011

Railroaded ! (1947) d'Anthony Mann

"All those monkeys are all alike. The minute they're caught they go yellow. The more I see them the more I like my dog. At least he's got integrity." "You know there's only two kinds of animals that make war on their own kinds : rats and men. And men...

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4 juin 2011

Desperate (1947) d'Anthony Mann

Encore une belle réussite venant de my man Anthony avec cette fuite en avant désespérée... et tout cela uniquement pour cinquante petits dollars de plus... Steve Brodie est un jeune marié hyper jouasse qui s'apprête à passer une soirée d'anniversaire...

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2 juin 2011

Strange Impersonation (1945) d'Anthony Mann

Republic Picture n'a peut-être point de grands moyens, mais ne manque pas d'imagination. Même si la mise en scène de Mann peut paraître, notamment dans toutes les scènes d'intérieur un poil théâtrale (il se lâche tout de même sur la fin avec des contre-plongées...

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27 mars 2011

Incident de Frontière (Border Incident) d'Anthony Mann - 1949

Si vous cherchez de la trame solide et des personnages intéressants, inutile de vous déplacer pour découvrir cette petite oeuvre de Mann : tant d'un côté que de l'autre, le film est décevant. Dans un billant paidoyer démocratique, Mann se pique de raconter...

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20 février 2011

La Brigade du Suicide (T-Men) (1947) d'Anthony Mann

Les T-Men, les types de la brigade financière spécialisés dans les enquêtes sur la contrefaçon, n'ont pas les super-pouvoirs des X-Men (je pouvais difficilement passer à côté) mais ne sont point des branquignoles pour autant. Denis O'Keefe avec ses faux...

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20 janvier 2011

La Rue de la Mort (Side Street) (1950) d'Anthony Mann

Mann ouvre son film avec quelques vues plongeantes magnifiques sur New-York et nous sert au passage un joli petit laïus (le nombre de mariages chaque jour, de naissances, de morts, de crimes aussi, oups...) sur cette ville qui donne le vertige ; il ne...

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4 décembre 2010

Marché de Brutes (Raw Deal) (1948) d'Anthony Mann

Rarement film noir a autant rimé avec désespoir... Et pourtant on ne peut pas dire que Joe Sullivan (le couillu Dennis O'Keefe) n'ait point tenté sa chance : il se retrouve en tôle suite à un sombre accord avec la pourriture Rick Coyle (Raymond Burr,...

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30 juin 2008

Les Furies (The Furies) (1950) d'Anthony Mann

Anthony Mann signe un western au noir et blanc joliment "sombre" (à l'image du léger contraste de la première séquence à la tombée de la nuit avec l'arrivé tonitruante de ce cavalier venu de nulle part au domaine des Furies) qui repose en grande partie...

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21 octobre 2007

La Ruée vers l'Ouest (Cimarron) d'Anthony Mann - 1960

On retrouve dans cette méga-production tardive du gars Anthony Mann toutes les qualités qui définirent ses oeuvres plus "sèches", plus modestes : magnifique "émotionnalisation" des espaces, avec ces longs travellings qui ouvrent d'amples lignes de fuite...

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1 septembre 2007

L'Appât (The naked Spur) (1953) d'Anthony Mann

Voilà du western solide avec une trame que comprendrait Bernard Montiel: James Stewart, chasseur de prime, doit ramener Robert Ryan, pour toucher ses 5000 dollars: il le choppe et après on se ballade dans les Rocheuses. Anthony Mann aime bien les collines...

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27 mai 2007

Côte 465 (Men in War) (1957) d'Anthony Mann

Solide film de guerre et superbe noir et blanc pour ce film dans lequel Anthony Mann prévient en exergue que le parcours d'un soldat dans une guerre vaut pour toutes les guerres. On est donc en Corée en 1950, une poignée d'hommes est perdue dans la cambrousse...

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22 février 2007

L'Homme de l'Ouest (Man of the West) d'Anthony Mann - 1958

Western âpre, c'est le moins qu'on puisse dire, aussi cru que ces lumières éclatantes sous un soleil de plomb, aussi noir que ces multiples scènes de nuit où seul survit le profil des protagonistes. Il s'agit de l'un des derniers Gary Cooper - toujours...

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