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1 avril 2024

Harry Potter et la Chambre des Secrets (Harry Potter and the Chamber of Secrets) (2002) de Chris Columbus

Vous n'en dormiez plus la nuit, hagard que vous étiez et anxieux de savoir ce qu'il allait advenir... Eh bien, nous y voilà, la suite d'Harry Potter est enfin là ! Bon, que dire de cette chambre des secrets si ce n'est que l'on sent, d'une année l'autre que l'on a fait quand même pas mal de progrès sur les effets spéciaux et les fonds d'écran... C'est un épisode où l'on passe pas mal de temps en l'air entre voiture volante et partie de quiddish mais où l'ambiance de l'école reste pour le moins délétère : des petits écoliers se retrouvent pétrifiés et la menace est telle que les risques de fermeture sont évoqués... On sent que tout le mystère de la chose est concentré dans cette foutue chambre des secrets et qu'entre le gros Hagrid et ses araignées velues et ce fourbe de père de Malefoy (on a un point commun, pour peu qu'on s'intéresse à l'onomastique...) et ses faux airs de Bardella blond, il y a des trucs peu catholiques qui se cachent... C'est un épisode pas très fun, animé en partie par un elfe-gollum à l'air triste, qui nous fait passer énormément de temps dans ces immenses couloirs de l'école où un chat pendu, un fantôme pendu ou un gamin transformé en statue de sel finissent toujours par se retrouver sur le chemin de notre trio magique : Hermione et son petit sourire malin, Ron, ses cheveux roux et ses mimiques (dieu qu'il joue mal, ce pauvre gamin : tout en grimaces) et Harry, la force magique tranquille derrière ses petites binocles... C'est une nouvelle fois sur ses épaules que repose tout l'avenir de l'école et notre gamin de jouer au chevalier pour déjouer les pièges tendus par les forces du mal (tout cela à cause d'un bouquin maléfique pourri, signé Dicker ou Musso, j'ai pas réussi à bien voir). C'est long, disais-je (2h30 sans générique, le début de la gabegie) plus noir que caustique, bourré de rebondissements comme une course cycliste sur du plat, mais je suis tout de même parvenu à aller au bout... Le troisième opus par exemple, je n'ai jamais réussi à aller au-delà de la première heure et ce sera une grande première si ma fille me bourre de coke. Elle est maline, je compte sur elle.

 

 

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