18 novembre 2024
Le Pavillon d'or (Enjô) (1958) de Kon Ichikawa
Et l'on continue d'explorer l’œuvre d'Ichikawa, laquelle, même lorsqu'elle se fait particulièrement sombre, demeure passionnante (et visuellement mirifique). Un moine nommé ici Mizoguchi (normal puisque l'interprète s'appelle Raizô Ichikawa - quel con...