
J'avais laissé le soin à l'ami Gols de parler du premier film des frères Zürcher, il était donc normal que je chronique le second ; s'il s'agit de toute évidence d'un cinéma du détail, de la nuance, de l'ineffable, ce n'en est pas pour autant une œuvre chiante et molle ; au contraire, je me suis dès le départ laisser porter par le regard bleu azur de la belle Henriette Confurius comme pour ne rien manquer de ses attentions envers les autres, de ses désirs, de ses déceptions. Tout se joue ici en vingt-quatre heures : un appart dans...
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