
Revoir Yi Yi et se dire qu'Edward Yang était tout de même un grand (d'ailleurs, il serait dommage de se priver, outre ceux déjà vus, des quatre autres long-métrages qu'il a réalisés dans sa trop courte carrière). On est dans la chronique-saga (...) d'une simple famille taïwanaise, chacun en proie aux petites difficultés de la vie : une grand-mère sur le point de mourir, un père pris entre les regrets de son passé (une histoire d'amour avortée) et ses problèmes de boulot (des collaborateurs aussi droits dans leurs souliers que des...
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