
Un film "d'horreur" américain pour des ados (entendez, dans la traduction des grosses boîtes de prod : pour des crétins boutonneux bouffeurs de graisse) avec des ados (entendez : avec des beaux gosses venus du clip), c'est l'enfer. Et c'est exactement ce qu'est Destination finale : c'est ultra-crétin, pseudo-ésotérique, joué au plus rapide, monté en deux jours, et consommable comme peut l'être un McFlury sauce samouraï. Ça faisait longtemps que j'avais pas tenté un de ces produits manufacturés qu'on ose à peine encore appeler...
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