
On retrouve tout le bon goût de John Waters dans cet opus qui bénéficie d'un budget un peu plus conséquent (et du coup apparaît un peu moins cradasse, un peu moins cru, un peu moins provocateur...). Alors oui, bon, on ne peut pas dire non plus que la famille drivée par Divine, femme incontournable à tout point de vue, soit non plus particulièrement "bon chic bon genre" : une fille aux allures de Marie-Salope qui couche avec le moindre petit gredin (manquerait plus qu'elle tombe enceinte... ben tiens, justement...), un connard de...
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