
Dès le générique d’ouverture, on sent qu’on va au-devant d’un grand film féministe d’un haut niveau intellectuel. Ou pour être plus terre-à-terre devant cette Jane qui lévite en réalisant un magnifique tête-à-queue, qu’il va s’agir d’un des films les plus cons de son époque. Vadim excelle à filmer un scénar insipide (Barbarella part à la recherche de Duran-Duran (mais que font les Dupont-Dupond ?) sur une planète hostile : ce dernier, capable de développer des armes alors même que l’on vit dans une ère galactique...
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