
La jaquette du film annonce une oeuvre entre l'univers d'Antonioni et celui d'Herzog et si cela fait beaucoup rire pour le premier, cela nous fait carrément s'esclaffer pour le second; c'est un peu le problème de ces références : dès qu'il s'agit de l'histoire d'un mec proche du désespoir et d'une destination du bout du monde (la Patagonie, ça va faire plaisir à Florent Pagny), on voudrait nous faire croire qu'on touche au chef-d'oeuvre de maestro. Trapero, sans être méchant, n'arrive pas à la cheville des deux gaziers.
On...
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