
C'est toujours pareil avec Johnnie To, on sait jamais si on doit se taper sur les cuisses en constatant la nullité du truc, ou si on doit considérer ça comme un avant-gardisme insensé. J'avoue quand même que, sur Running on Karma, c'est la première tendance qui se dégage. Je veux bien reconnaître que c'est une autre culture, un autre humour, d'autres références que les miens, mais tout de même : comment s'enthousiasmer vraiment pour ce gentil nanar hystérique, aussi consternant dans son scénario que pauvret dans sa réalisation ?...
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