
Ce Frédéric Tellier est de la race des cinéastes sérieux et efficaces des années 70, des Deray, des Boisset, et il réalise ici une enquête très honnête et droite, qui n'a pour volonté que d'instruire le spectateur sur des faits, rien que des faits. Le film s'intéresse au premier "serial-killer français" (SK1), Guy Georges, qui dans les années 90 donna bien du fil à retordre aux enquêteurs du 36 quai des Orfèvres, en violant et assassinant en toute impunité une dizaine de jeunes femmes. Le bougre a échappé aux mailles du filet...
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