
J'ai déjà avoué l'extase dans laquelle me plongeait chaque apparition de Gene Tierney mais il faut reconnaître que dans Leave her to Heaven, où rarement images en technicolor ont été aussi belles, elle me met carrément en transe... Des yeux bleus de lagon, une bouche rouge de dragon, une blancheur du visage de lapon (mes profs ont toujours déchiré mes poésies, alors que franchement...). Sa première apparition dans le train, lorsqu'elle abaisse doucement un livre et fixe la personne en face d'elle, ferait passer Jessica Rabbit pour...
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