
Le premier opus était une bouse ; logiquement le second (on n'ose dire le deuxième) est une sous-bouse. Dans une mise en scène qu'il faut bien qualifier de gloubi-boulguesque, faite de rafales de plans montés à l'arrache et à la mitraillette, dans une photographie qui dégouline dans tous les sens de fumigènes à la con, de contre-jours illogiques et d'ambiances nocturnes hors d'âge, porté par des acteurs en-dessous de tout, qui grimacent à qui mieux mieux pour bien nous faire comprendre qui est bon (les enfants, les aveugles, les...
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