
C'est toujours pareil : chaque fois que je revois Cria Cuervos, je ressors avec les lunettes embuées et les yeux rouges. En plus, ils viennent de le ressortir au ciné, et le voir sur grand écran ajoute encore aux ravages qu'il cause dans mon intérieur perso.
Cria Cuervos, c'est un peu comme un Bergman, si vous voulez, mais alors un Bergman qui vous choperait directement au bide, sans passer par le cortex. Ce film est un concentré d'émotions pures, et tout (scénario, réalisation, acteurs, musique) est destiné sciemment à vous tordre...
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