
Le moins qu'on puisse dire, c'est que le grand Prix de Gérardmer cette année ne fait pas dans le fade : voilà un de ces films (souvent japonais, d'ailleurs) qui manient sans aucun complexe un style hyper-appuyé, pour le pire et pour le meilleur, tentant de donner un nouveau souffle à l'imagerie fatiguée du film d'horreur. Sabu parvient parfois à un vrai talent, se gauffre aussi parfois, mais son film ne peut pas laisser indifférent. Le postulat de départ laisse un peu perplexe : dans un futur proche, les zombies les moins dangereux...
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