
Pierre de taille du documentaire français d'après-guerre, nous voici donc face au "monument" du gars Rouquier qui nous transporte dans le Rouergue (L'Allier avec un accent du sud, le cauchemar pour tout linguiste). Et nous revoilà plongé, l'espace de quatre-vingt-dix-minutes, dans toute l'ambiance de notre petite enfance (ou celle de mon père, je confonds parfois) ; ces aïeux qui parlent une langue que personne ne comprend (ça me ferait chier de me faire sous-titrer, perso, dans mon propre pays... et pourtant, force est de...
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