
Cette année, le cinéma belge est en passe de remplacer, dans mon panthéon des pires filmographies de la planète, le cinéma anglais, ce qui était un challenge. Après le pénible film de Lafosse (avis personnel, hein, Shang a aimé), voici le cinéma couillu de Michael R. Roskam, et je reconnais qu'à un concours de lourdeurs, le second gagne d'une courte tête. Méli-mélo psychologique à la sauce Dolto, polar bancal louchant sur Scorsese (et le voyant flou du coup), exercice esthétique se rêvant peintre flamand et se réveillant Gaspard Noé,...
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