
Cela commence comme un hymne à l'émancipation féminine et se termine... un peu en compote, comme s'il ne fallait pas non plus mettre trop d'huile sur le feu par rapport à la morale et la censure de l'époque. C'est bien dommage d'autant que Greta Garbo en femme passionnée par une sorte d'Errol Flynn poupon (Nils Asther) est tout à fait crédible avec ses éternels airs de sirène abandonnée sur la terre... (Je fais dans le lyrisme, je sais pas si vous avez remarqué). A noter également la somptueuse musique de William Axt aux mélodies...
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