
Je gardais un excellent souvenir de cette œuvre de Reisz, un souvenir un peu daté. Si Mery Streep était en 1981 franchement éblouissante (cela donne presque envie de revoir Le Choix de Sophie… et de le relire aussi, d’ailleurs, mais là on n’arrête jamais) et Jeremy Irons… ironesque (toujours ce même regard immobile et vide quel que soit le rôle : la première fois, ça impressionne, aujourd’hui on s’est un peu lassé), le film a quand même pris un peu de plomb dans l’aile. Oh c’est assez malin ce petit côté mêlant film...
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