
Découvert avec Last Day in the Universe (genre de Lost in Translation thaï, si vous ne voyez pas ce que je veux dire c'est pas grave), Pen-Ek nous convie cette fois dans un monde presque lynchien, déshumanisé, fait d'errance, de couloirs (mentaux) éclairés avec des néons qui grésillent (cellules grises qui disjonctent), avec toujours une petite pointe d'ironie salvatrice. L'image gris-orangé est toujours parfaitement soignée, la bande son omniprésente mais en sourdine institue toujours un climat trouble comme les eaux du Yangzhe et si...
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