
On est rapidement plongé dans l'ambiance dans ce thriller politique à la française : Dussolier (royal) en homme politique de l'ombre parvient rapidement à convaincre un écrivain à la dérive, Poupaud (princier), d'écrire un bouquin pour servir ses "intérêts" ; on est dans le petit monde des guillemets, dans le petit monde où l'on se parle, l'on s'entend à demi-mot : on comprend grosso-modo qu'il va s'agir de se servir de groupuscules d'extrêmes-gauches (faut bien qu’ils finissent par servir à quelque chose, de nos jours) pour venir...
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