
Parajanov n'est pas un manchot quand il s'agit d'utiliser la couleur. Cela dit, même s'il utilise pour ses tableaux "vivants", tous les trésors artistiques de la Russie (tableaux, poteries, bibelots, kalashnikov...), franchement, je sais pas vous, mais cela finit au bout du compte par frôler l'effet pompier. Et puis ces chants kusturiciens de tsiganes qu'on égorge et ces acteurs, maquillés comme des Dieux hindous, qui hurlent plus qu'ils ne jouent, du matin, comme ça, c'est dur. Hein? ah ben non, sinon c'est jouli... ...
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