
Je ne pensais pas trouver le courage de revoir cette trilogie avé accent avant de mourir, c'est chose faite, gloire en partie au confinement number 2. En parlant de mort, justement, dieu qu'il fut difficile de rentrer dans le "rythme" de ce dernier épisode pagnolesque : Panisse est mourant et le défilé autour de son lit donne le la de cet épisode qui part dans une ambiance mortifère... Puis, enfin, le bougre meurt, et voilà le fils "illégitime", Césariot (André Fouché, mauvais comme un cochon) qui découvre enfin, à 20 ans, que...
[Lire la suite]