
Très beau film, qui marque par sa justesse, sa poésie, la distance idéale prise par Nicchiarelli par rapport à son mythique et mystérieux sujet : Nico, qui a traversé pas mal de cercles d'enfer de la musique (avec le Velvet Underground), de la peinture (Andy, dis-lui oui) et du cinéma (les délires plus ou moins digestes de Garrel), a été la muse de quelques grands, a acquis le statut de culte, mais finalement n'a pas réussi à avoir la carrière promise. Présenté sur cintre, on s'attend à une série de clichés plus ou moins réchauffés...
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