
J'avais fait l'impasse sur le trois sans grand regret et je retrouve cet ultime tome sans grande passion. Pourtant l'idée de départ pouvait être en soi assez intéressante : Shrek, rompu par la routine (les trois gamins à élever, la véritable attraction touristique qu'il est devenu au sein de ce royaume disneylandien), regrette le temps où, en bon ogre qui se respecte, il inspirait la peur : il signe un pacte diabolique avec un nabot effrayant, le bien nommé Sarkostiltskin - son conseil de ministres avec les sorcières est d'une...
[Lire la suite]