
Après un Godard, c'est clair qu'on tombe de haut avec ce pauvre navet. On est d'accord que dans les années 70, faire un film d'horreur sans scénario et sans moyen pouvait fonctionner (cf Evil Dead) : il y avait une volonté de choquer le bourgeois, de renouveler un peu le genre, de proposer des nouvelles donnes dans la sacro-sainte vraissemblance du cinéma, et de mettre en avant des cinéastes très jeunes avec de nouveaux regards. Mais en 2007, quid ? Je le demande, quid ? Maury et Bustillo, qui doivent être à côté dans leur classe de...
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