
Voilà une production anglaise (notre bête noire, on le sait) plutôt nerveuse et qui en ce début des eighties n'a pas à rougir par rapport aux autres productions internationales mêlant mafia, espionnage et règlements de compte explosifs. Celui qui porte sur les épaules le bazar n'est autre que Bob Hoskins en bon héritier, ici, d'une James Cagney ou d’un Edward G. Robinson (on a décidé d’être bon aujourd’hui) : petite brute nerveuse avec une ambition qui dépasse de loin sa taille, le Bob n'imagine, ne peut concevoir l'échec ; voilà...
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