
Toutes sortes d'influences peuvent se faire jour dans le cinéma, mais peu peuvent se targuer d'avoir comme référence La Boum. C'est pourtant le cas de Psychobitch, en tout cas si on en juge par son prodigieux scénario : un jeune gars un peu nigaud, issu de cette génération si lisse et parfaite enfantée par les Norvégiens d'aujourd'hui, tombe raide dingue d'une chieuse intégrale, une môme suicidaire et rebelle qui lance des tartines beurrées contre les murs et meugle comme une vache pour exprimer sa différence. Mais, je n'ai pas...
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