
Une suite au Pigeon de Monicelli, c'était forcément casse-gueule, et même si Loy s'en tire avec les honneurs, il est bien sûr loin du modèle. Il reprend la même fine équipe de braqueurs du dimanche (sauf Mastroianni, too bad), appuie un peu plus sur les traits, et nous voilà repartis pour une escapade criminelle grotesque, avec force cris et moult pitoyables échecs. Cette fois-ci, nos gars doivent piquer une valise pleine d'oseille, mais entre les pathétiques crâneries des uns (Vittorio Gassman, survolté) et la fierté nationale des...
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