
Je sais bien que je n'arriverai pas à convaincre les plus radicaux d'entre les lecteurs de Shangols, ceux qui jettent la musique de Céline Dion et le cinéma de Lemercier dans la même fosse, et je ne peux leur donner tort dans leurs goûts sûrs. Malgré tout, ils auraient tort de se priver de ce film surprenant, qui m'a cueilli (gentiment, hein, faut pas exagérer) alors que tout me hurlait de fuir dans l'autre sens. Lemercier trouve la distance parfaite pour traiter de son improbable sujet, ni trop ironique (bien qu'assez drôle), ni...
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