
Avec cette adaptation de Villa Triste du gars Modiano, Patrice Leconte parvient avec un rare bonheur à transcrire parfaitement, du livre, les espaces blancs entre chaque paragraphe. D'un vide intersidéral et d'un manièrisme forcené, ce film est aussi lisse que les jolies fesses de Sandra Majani qui joue les potiches de porcelaine avec un naturel confondant. Son jeu est tellement éthéré qu'elle a disparu tout bonnement après ce film, ce qui est tout de même une bonne nouvelle. Pauvre Hippolyte Girardot et surtout pauvre Jean-Pierre...
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