
Cela faisait longtemps que je ne m’étais pas fait un film des années 80, tiens (passons sur le Dante, ça compte peu). Les effets spéciaux rigolo avec maquillage en pâte molle et transformation bestiale in progress (beaucoup plus réussie, justement, que dans The Howling, notons-le), les scènes de seks chaudes mais pas trop (enfin, juste une, si on fait abstraction du final dans la salle de cinoche qui passe un film porno… cucul, résolument), les jeunes héros certes intrépides (au moins au départ, ou inconscients…) mais qui ont le...
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