
Peut-être ai-je perdu mon âme d'enfant (ou de cheval) mais c'est vrai que Crin-blanc ne m'a point fait autant hennir de plaisir que Le Ballon rouge. La Camargue, sa nature aride, ce cheval fougueux, ces méchants adultes, ce pur enfant (qui fait cuire un lapin quand même),... l'intrigue est un peu trop lisse, les ficelles un peu trop grosses... Certes, Lamorisse n'est pas en reste pour nous livrer une superbe image en "blanc et blanc-gris", réalise certains plans de toute beauté relativement impressionnants - le gamin qui...
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