
Autre invité cannois cette année (et récompensé du prix d'interprétation masculine, on y revient), Nitram suit la trajectoire d'un type pour le moins azimuté : pas besoin d'un miroir d'ailleurs pour se rendre que son surnom-même n'est qu'un reflet de sa folie bipolaire. Nous sommes dans les 90's, dans un petit bled de Tasmanie (on voyage, sur Shangols) où l'ami Nitram fout le bordel ; rien de vraiment étonnant de s'amuser avec des pétards quand on est gamin, c'est plus inquiétant quand on est adulte ; le type avec ses longs...
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