
Toujours bon de partir à la découverte d'un nouvel auteur japonais d'autant que, dès les premières images, on est cueilli par le magnifique noir et blanc, le superbe jeu sur les lumières et le soin extrême que l'ami Kudo apporte à ses cadres : un hara kiri devant la porte du palais d'un seigneur provincial présenté avec une sobriété impeccable, des discussions qui s'enchaînent comme une trainée de poudre au sein des plus hautes instances du gouvernement et chez le seigneur, filmées encore un fois avec le même soin qu'un chtit bout...
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