
Polly Magoo (Dorothy McGowan, the mannequin of the movie, que l'on ne reverra jamais au cinoche) est un film comme seules les années 60 pouvaient en fournir : joyeusement foutraque, décousu, dont les plus grandes qualités, au final, viennent de ses apparentes faiblesses. Fi d'une narration logique (un prince d'un royaume imaginaire courtise un top modèle, Gosh, en toile de fond), William Klein fait feu de tout bois et traite dans une même assiette, le portrait -superficiel- d'une bien joulie donzelle, le reportage sur icelle...
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