
Ça va, si on a plus le droit de se taper des films guimauve de temps en temps, alors je dis stop. Aucune excuse de ma part pour me taper un Klapisch, si ce n'est l'injonction d'une fée (ce qui est la meilleure des raisons). Bon après ceci dit, voilà, j'ai vu un Klapisch, et j'y ai trouvé exactement ce que je m'attendais à y trouver : du sucre, des clichés, une poésie légère et durable comme un glaçon, des dialogues petit malin dits par des jolis comédiens, des sourires bon enfant, et pas une seconde de cinéma. Le bon gars, épaulé...
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