
Je pensais bien avoir vu toutes les Palmes d'Or de l'histoire, eh bien, non, il me manquait cette Porte de l'Enfer qui ressort en ce moment drapé de toutes ses couleurs, comment dire, volontaires ?
Oui, parce que ce qu'on retient avant tout (et même seulement) du film, ce sont les couleurs, vantées sur l'affiche et effectivement incroyables. Le gars Kinugasa n'est pas avare en gouache, et s'en donne à coeur joie, surtout dans les orangés (surréalistes) et les pourpres (pour draper des chevaux qui en ressortent du coup pratiquement...
[Lire la suite]