
Shnitaro Katsu, pour cet antépénultième opus de la série, se met lui-même en scène, et le résultat est tout simplement prodigieux, imposant l'épisode comme l'un des tout meilleurs de la série - n'ayons pas peur des mots. Esthétiquement tout d'abord, Katsu semble trouver le moyen de mettre en images les projections mentales de son héros aveugle... Certes c'est une gageure, même si on sait que l'ouïe de notre ami est plus fine qu'une lame de sabre : il multiplie les gros plans en jouant sur les flous - au premier ou en arrière-plan...
[Lire la suite]