
Étant plus un adepte du fantastique que du gore, je décidai de donner une chance à ce petit film islandais remarqué cette année dans la section Un Certain Regard. Force est de reconnaître que les nouveaux-nés ont eu la vie dure à Cannes en 2021 : après l'enfant de bois caraxien, l'enfant d'acier titanesque, voilà l'enfant, comment dire, doux comme un agneau, d'un genre là aussi quelque peu flou... Mais reprenons : nous sommes dans l'Islande profonde, autrement dit en Islande ; un couple d'éleveurs, sans enfant, mène sa petite vie...
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