
Première fois que l'on parle de Derek Jarman sur ce blog et j'ai envie de dire sûrement la dernière tant la chose artistico-fauchée-punko-apocalyptico-dystopique m'a paru aussi inintéressante et molle que de la gelée. De royauté, il est question au début, puisqu'il va s'agir de suivre le voyage d'Elizabeth 1ère dans le temps, voyage qu'elle va bientôt autant regretter que nous. 400 ans plus tard, donc, tout est devenu gabegie dans ce monde sans foi ni loi où des hordes de jeunes gens et de jeunes filles tuent le temps en tombant...
[Lire la suite]