
Jang a dû voir l'intégralité des films noirs de l'histoire du cinéma, et en particulier ceux de sa Corée natale, pour en régurgiter ce gloubi-boulga aux airs de compilation bordélique. C'est bien de vouloir faire du suspense à tiroir, je ne dis pas ; mais là, au bout de trois minutes, on tique sévère devant ces acrobaties scénaristiques improbables, et on devient vite complètement indifférent face à cet amnésique paranoïaque somnambule assassin hypnotisé (oui, tout ça) et à son histoire compliquée jusqu'à l'absurde... Le truc...
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