
Si le premier film de Nicholson, Drive, he said, se révélait une oeuvre brouillonne mais bourrée d'énergie, cette oeuvre de Janglom, réalisée à la même époque et produite également par Bernt Schneider, est d'un ennui à mourir. Attention, on est dans l'oeuvre expérimentale ricaine sous influence godardienne ou fellinienne (c'est en tout cas lui qui le dit, ne cherchons pas forcément de liens) : en gros, le principe, c'est pas de ligne narrative claire et un montage le plus foutraque possible histoire de brouiller les pistes - on a...
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