
Qui dit Guzman, dit Chili, dit les Andes, dit Pinochet. C’est un peu abrupt posé comme cela ; le fait est que Guzman, quel que soit le sujet qu’il décide de traiter en amont sur son pays d’origine, finira toujours par revenir à la dictature. On comprend aisément le processus même si c’est vrai qu’ici, cela semble un peu facile : pendant le premier tiers du film, Guzman filme ces montagnes majestueuses et interroge des écrivains, des peintres, des sculpteurs, des artistes sur leur relation avec ces montagnes. Il...
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