
Oh le joli film tout en subtilités, en non-dits et en délicates touches de bon goût pour exprimer l'inneffable... On ne reprochera pas à Guadagnino de ne pas faire d'effort pour donner dans la mesure et le presque rien. Dès le générique, on tique, quand on voit écrit "scénario : James Ivory" ; déjà parce qu'on croyait le bougre mort depuis 1991, ensuite parce que si lui s'avère vivant, son cinéma est désormais dans le camp des trépassés pour de bon, et que c'est pas dommage. Mais dès les premières images, le spectre du lord anglais...
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