
Gloire à Arte qui a proposé cette version complète (7 heures) en version restaurée de toute beauté, qui permet de découvrir cette fresque intime dans tout son éclat. Connaissant très mal Abel Gance, j'ai pu constater l'originalité du bougre, qui creuse ici dans le mélodrame une trace très nette, en marge de ses contemporains : La Roue est toujours regardable 100 ans après, ce qui n'est pas le cas de nombre de films du genre. Pourtant, il est plutôt sobre, non dans le ton qui envoie sacrément du paté, mais dans la mise en scène. Si...
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