
Faut-il admirer la radicalité et la personnalité hors-norme de Lucio Fulci, ou se gondoler comme un bossu devant son cinéma hyper amateur, érigeant le faux raccord en obligation ? On ne sait trop sur quel pied danser devant La Maison près du cimetière, même si, franchement, mes sentiments me portent un peu vers la deuxième option. Ce qui est intéressant là-dedans (comme dans le western-spaghetti, autre genre perverti par les Italiens), c'est la sorte d'épure à laquelle se livre le cinéaste : il ne garde que la substantifique moelle...
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