
Un western pre-code avec un John Wayne prépubère, ça se tente, d'autant que Randy rides Alone est suffisamment court pour supporter une vision même morne. Et mornitude, malheureusement, il y aura au cours de ces 53 minutes longues comme un jour sans pain. Le film apparaît très curieusement fagoté, avec ses sons faits à la bouche (cataclop, font les chevaux ; paf, font les coups de poing), sa musique anachronique balancée au petit bonheur la chance et ses aspects encore très "cinéma muet". Même le méchant principal se fait passer...
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